Profession

L’IA générative est considérée comme l’innovation la plus prometteuse par 97 % des 118 dirigeants de sites e-commerce français et 73 % d’entre eux sont optimistes quant aux opportunités d’augmenter la productivité grâce à cette catégorie d’intelligence artificielle. Mais son adoption au sein des entreprises suppose à la fois une évolution des processus organisationnels, la modernisation des infrastructures technologiques et un investissement continu dans la formation des personnels.

En cumul, de janvier à octobre 2024 par rapport à la même période de 2023, les ventes magasins ont augmenté de 2 %. Mais le secteur de l’équipement de la maison connaît une baisse de 2 % sur la période, avec des contractions toujours très marquées dans certains segments, tels que le meuble par exemple ; signe, selon Procos, que la crise du logement continue d’impacter fortement ces secteurs, malgré la baisse des taux d’intérêt.

Dans sa dernière note de conjoncture en date, l’IPEA souligne notamment la bonne rentrée des enseignes de l’ameublement milieu/haut de gamme, tandis que les enseignes du e-commerce reprennent un peu de couleurs sur le mois. L’institut note également les bons résultats de certains spécialistes literie et cuisine, qui n’ont pas hésité à jouer la carte de la promotion. Côté produits, la literie se distingue encore une fois, avec des résultats légèrement positifs en septembre, alors que la cuisine ferme la marche.

71 % des Français s’accordent à dire que les commerces ont une influence positive sur leur propre qualité de vie. 52 % affirment même que la présence de commerces dans leur ville a influencé leur décision de s’y installer ou contribue à leur envie d’y rester. Un rôle essentiel donc, qui participe aussi à la vitalité et à l’attractivité des territoires. Mais ce n’est pas le seul enseignement de la dernière édition du “Baromètre Galimmo” réalisé par L’ObSoCo…

Sur la période janvier/septembre 2024 comparée à la même période de 2023, l’activité moyenne des enseignes du commerce spécialisé a connu une croissance de seulement 1,8 %, légèrement en dessous de l’inflation. Et tandis que les différents secteurs d’activité connaissent des fortunes diverses, l’équipement de la maison fait partie de ceux qui traversent une année 2024 difficile. Quant à la fin de l’année, elle s’annonce incertaine, mais pleine d’espoir.

Les éco-organismes Ecomaison, Ecominéro, Citeo et Léko, fédèrent les acteurs de la céramique, pour expérimenter des solutions de réemploi et collecte en vue du recyclage du matériau céramique. L’ambition majeure des travaux d’ores et déjà en cours, consiste à transformer les déchets céramiques en ressources à forte valeur ajoutée et à diversifier les usages de la céramique recyclée, tels que la transformation en poudres à forte charge minérale.

Selon l’Observatoire 2024 du Commerce en France, réalisé par Havas Commerce en partenariat avec Paris Retail Week et CSA Consulting, malgré l’essor continu du e-commerce, 84 % des Français continuent de préférer les achats en magasins physiques. Cette tendance s’explique par le besoin des consommateurs de toucher et d’essayer les produits avant de les acheter, facteur visiblement déterminant pour 62 % d’entre eux.

Dans un contexte de marché très difficile, la CNEF et l’Ameublement français ont décidé de demander de nouveau le déblocage d’une partie de l’épargne thésaurisée sur les plans d’épargne logement (PEL) pour l’achat de meubles neufs et de gros électroménagers neufs. À cette fin, un courrier a été adressé ce 10 octobre à tous les députés et sénateurs membres des commissions des finances et des affaires économiques.

“Togo”, de Ligne Roset ; “Prado”, de Cinna ; “Borghèse”, de Noé Duchaufour-Lawrance ; ou encore la chaise “Lune d’argent”, de Pascal Mourgue… : du 14 octobre au 13 décembre 2024, dans sa galerie parisienne de l’avenue Ledru Rollin, au travers d’une vingtaine de pièces de mobilier cultes, qui ont fait (ou feront) la renommée de leurs éditeurs et designers, “Le French Design by VIA” va décortiquer le rôle stratégique de l’icône.

Encore une fois, à l’exception de certaines marketplaces et de certains spécialistes literie et autres discounters, les résultats de la majorité des acteurs du marché sont orientés à la baisse. Par ailleurs, en termes de produits, comme depuis le début de l’année et malgré des résultats négatifs, la literie continue de surnager au cours du mois d’août, avec, à la clé, un recul presque deux fois moindre que celui du marché.

Le 12 septembre dernier, la cinquième édition des “Rencontres Parlons Literie” a réuni les acteurs majeurs du secteur de la literie, pour une journée d’échanges autour du thème de la “Gen-Z”, génération de “consom’acteurs” dont les comportements d’achat et les priorités diffèrent fortement des générations précédentes. Mais le point d’orgue de cette journée fut sans nul doute la présentation de la nouvelle mouture du site internet “parlonsliterie.com”, principal vecteur de communication du collectif vis-à-vis du grand public.

Dans le cadre de son Appel à manifestation d’intérêt “Réemploi et Territoires”, l’éco-organisme Ecomaison, acteur de référence de l’économie circulaire, a retenu trente premiers projets. Parmi-ceux-ci : le soutien au mouvement Emmaüs, pour la prise en charge logistique (transport, stockage) de près de 1 400 tonnes de mobilier provenant des villages olympiques parisiens, à hauteur de 350 000 €, soit 30 % du coût de cette opération unique et historique pour le mouvement.

Olivier Mermuys, directeur général de l’enseigne Cavavin (vins et spiritueux) et administrateur de la fédération depuis 2021, prend la présidence de la Fédération française de la franchise (FFF) pour un mandat de deux ans. Il s’est notamment engagé à poursuivre et à développer les missions de la FFF, dans le but de faire reconnaître la vitalité de son modèle entrepreneurial, tout en préservant les valeurs fondamentales de la franchise : proximité, accompagnement et réussite partagée.

La France (où le commerce en ligne ne cesse de progresser), est le deuxième plus grand marché e-commerce d’Europe. Même s’ils se montrent parfois critiques sur les effets d’internet (dépendance, isolement, sédentarisation…), les Français l’apprécient de plus en plus. Tant et si bien que le commerce électronique représente désormais 10 % du commerce de détail. Tels sont quelques-uns des enseignements de l’édition 2024 des “Chiffres-clés e-commerce” récemment publiés par la Fevad…

Selon Procos (Fédération pour la promotion du commerce spécialisé), l’activité des magasins des enseignes du commerce spécialisé s’est terminée, à fin août, en très légère hausse, de 1,5 % par rapport à août 2023. Par ailleurs, alors que la fréquentation des points de vente était fortement négative en juillet, elle s’est avérée plus favorable en août. Mais ces tendances générales masquent des réalités sectorielles contrastées…

Dans cette période d’incertitude persistante, alors que, selon l’IPEA, les acteurs du marché semblent avoir enregistré des résultats hétérogènes pour le mois d’août et que le décalage calendaire des soldes n’aura pas forcément aidé à y voir plus clair, l’Institut de prospective et d’études de l’ameublement révèle que le marché du meuble domestique a enregistré en juillet son plus fort recul depuis le début de l’année, avec, à la clé, une contraction de son chiffre d’affaires de 9,2 %.

Si l’on en croit la dernière mouture de “l’Observatoire économique du Commerce Coopératif et Associé” de la FCA (Fédération du commerce coopératif et associé), les groupements de commerçants continuent de faire la démonstration d’une meilleure performance dans la durée par rapport aux modèles concurrents. En tout, ce sont 36 000 entrepreneurs indépendants qui contribuent à faire vivre 180 enseignes nationales, pour près de 200 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

Les chiffres révélés par la VDM (association qui représente les intérêts d’environ 450 fabricants de meubles allemands), sont rudes : sur le premier semestre de cette année, l’industrie allemande du meuble enregistre une baisse de près de 10 % de son chiffre d’affaires. Mais l’organisation professionnelle mise sur une légère reprise de la demande dans les mois à venir. Bilan. Et perspectives.

Procos donne une activité des enseignes du commerce spécialisé en baisse de 2,5 % en juillet. Mais certaines régions sont en forte régression dans le nord de la France, du fait d’une météo défavorable, tandis qu’à Paris, l’activité a été très fortement impactée dès avant le début des jeux olympiques. Par ailleurs, certains secteurs souffrent plus que d’autres, comme l’équipement de la maison.

Il semble acquis que les Français sont disposés à retourner sur le marché immobilier dès lors que les taux le permettront et malgré le contexte actuel. Mais la légère embellie du printemps, constatée par les notaires sur l’ensemble du territoire, démontre que ce même marché immobilier, moteur de la croissance s’il en est, est sensible à la stabilité, tant économique que politique…

Après dix mois de recul consécutifs de son activité, le résultat du mois de juin (+0,8 %) constitue une petite bouffée d’oxygène pour le marché du meuble qui, selon l’IPEA (Institut de prospective et d’études de l’ameublement), enregistre sa première performance positive depuis… juillet 2023. Et c’est encore le segment de la literie qui domine le marché.

Filière historique et majoritaire dans les activités de l’éco-organisme, l’ameublement représente à lui seul 1,5 million de tonnes de produits et matériaux pris en charge. Après avoir construit et déployé cette filière pendant plus de dix ans, Ecomaison poursuit ses travaux, pour inciter à l’allongement de la durée de vie des produits, via les fonds dédiés à la réparation et au réemploi.

Pour 28 % de nos concitoyens, les facilités de paiement (paiement fractionné, paiement différé, crédit à la consommation, crédit renouvelable…) constituent un moyen d’étaler leurs dépenses (bien qu’ils pourraient s’en passer), tandis que pour 18 % d’entre eux, elles sont utilisées de manière ponctuelle, pour faire face à des dépenses plus importantes. Mais ce ne sont pas là les seuls enseignements du baromètre “Sofinscope” réalisé par OpinionWay pour Sofinco…

Selon Procos, le premier semestre 2024 se termine par un mauvais mois de juin, non seulement affecté par une météo très défavorable, mais encore (voire surtout), par une dissolution de l’Assemblée nationale qui a aussitôt impacté la consommation et créé une période d’incertitude (toujours défavorable), ceci jusqu’aux résultats du 7 juillet dernier ; résultats dont on ne peut pas dire qu’ils soient pour l’heure de nature à rasséréner un consommateur déjà frileux…

En attendant de se “réinventer” et dans l’urgence, les distributeurs continuent majoritairement de miser avec constance sur le renouvellement de l’offre. Il s’agit là de l’un des nombreux enseignements du dernier baromètre Maison&Objet “de l’industrie internationale de la décoration, du design et de l’art de vivre”… Qui révèle aussi que le concept d’intelligence artificielle est d’ores et déjà adopté par 34 % des entreprises et personnes interrogées avec, en tête, le logiciel ChatGPT (89 %).

Encore une fois, à l’exception des spécialistes literie, il s’avère qu’aucun circuit ne parvient véritablement à se démarquer sur ce mois de mai, même si les résultats peuvent, au sein d’un circuit donné, apparaître hétérogènes entre ses différents acteurs, ceci en fonction des opérations commerciales menées par telle ou telle enseigne sur la période.

Avec le soutien du CODIFAB, FCBA souhaite anticiper la prochaine réglementation afférente à l’affichage environnemental des meubles domestiques, dont on sait qu’il va devenir obligatoire pour le secteur de l’ameublement à compter de 2027, en tous cas aux dernières nouvelles… Pour ce faire, l’institut technologique lance la nouvelle version de son logiciel Eco-meuble. Explications.

C’est l’un des enseignements du “9e Baromètre du Centre-Ville et des Commerces”, réalisé par l’institut CSA et Citiz Media, avec le soutien de l’Agence nationale de la cohésion des territoires, pour l’association “Centre-Ville en Mouvement” : 34 % des Français considèrent que le commerce de proximité doit être la priorité numéro un pour dynamiser les centres-villes. Tiens tiens.

La fédération Procos fait état d’un mois de mai en hausse de 3,1 % en magasin, mais également d’une météo (mauvaise) qui a eu des impacts très négatifs sur certains secteurs. Par ailleurs, d’une manière générale, l’activité des magasins, sur ce mois de mai 2024, a été fortement impactée par les vacances et les jours fériés…

Après une année 2023 chahutée en matière d’immobilier, les Français recommencent à envisager d’acheter, notamment grâce aux conditions d’emprunt qui redeviennent un peu plus attractives pour eux. C’est en tous cas ce que révèle le premier volet d’une étude exclusive menée par l’institut YouGov pour le réseau Guy Hoquet qui, entre autres enseignements, fait état d’un signal encourageant : plus d’un Français sur deux a l’intention de concrétiser un achat immobilier courant 2024.

Si l’on en croit le collectif Parlons Literie, alors qu’un tiers des achats de literie (31 %) était lié à un déménagement au cours des trois dernières années, les fortes tensions du marché de l’immobilier n’ont pas entamé le maintien des ventes de cette famille de produits sur le premier trimestre 2024. Hélas, le mois d’avril semble annoncer la fin d’une forme de “traitement d’exception” pour la literie, au sein d’un marché du meuble désormais en baisse de 9 %.

La Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), qui fédère aujourd’hui plus de 800 entreprises, fait état d’une croissance du e-commerce qui demeure robuste au premier trimestre 2024, soutenue par la solidité des ventes de services (en hausse de 13,3 %) et un redressement des ventes de produits (avec un nombre de commandes à +1,1 %).

Au 31 décembre dernier, la CNEF réunissait 49 entreprises à enseignes nationales et 8 chambres territoriales et sectorielles, pour un total de 7 629 magasins (ou sites de vente en ligne). D’ici au 31 décembre 2025 et sous réserve de validation des deux demandes en représentativité déposées par la confédération pour gérer chacune des deux conventions collectives actuelles, la CNEF se substituera à la FNAEM et à la FENACEREM pour l’ensemble de leurs actions sociales.

Aucune famille de produits ne se démarque sur le mois d’avril et toutes enregistrent de forts reculs de leurs performances. Ce sont encore une fois la cuisine et la salle de bains qui ferment la marche. À l’inverse, la literie enregistre le plus faible recul, mais dans des proportions proches de celles du marché cette fois-ci. 

La fédération allemande de l’industrie du meuble fait état d’un chiffre d’affaires en recul d’environ 13 % au premier trimestre 2024, à 4,1 milliards d’euros. Le segment des meubles de cuisine (à 1,4 milliard d’euros) accuse un repli de 16,5 %, tandis que le rembourré (environ 260 millions d’euros) régresse de près de 15 % par rapport à la même période de 2023.

Le 3 juin dernier, des organisations représentatives des bailleurs et des commerçants ont signé un protocole pour la mise en place de la mensualisation des loyers. Une signature qui met en évidence la volonté de la filière de trouver des solutions pour accompagner la trésorerie des enseignes et des commerçants, ceci dans le cadre des discussions engagées au sein du Conseil national du commerce (CNC).

Si le nombre de transactions dans l’ancien devrait continuer de diminuer au cours des prochains mois, la baisse annuelle, assez stable depuis quelques mois, pourrait commencer à s’amoindrir. Le marché immobilier arrive à son point d’atterrissage. L’organisation professionnelle des notaires de France note même par endroits un regain d’activité qui, s’il n’est pas encore vivace, peut laisser augurer d’une reprise, à mesure que la BCE desserre les contraintes impactant le marché.

La ministre Olivia Grégoire a notamment salué le parcours remarquable de Véronique Denise, soulignant son leadership inspirant et son engagement, reconnus par l’ensemble de la profession, qui lui ont permis de rejoindre les conseils d’administration de grandes organisations professionnelles, ainsi que la présidence du Gifam.

Les industriels de la cuisine notamment, voient leur activité fortement reculer sur le premier bimestre 2024, dans le sillage d’un secteur en difficulté depuis de nombreux mois. En outre, la concurrence internationale reste forte sur ce segment, avec des importations qui reculent moins vite que le marché, constituant ainsi un obstacle supplémentaire pour les fabricants nationaux, alors que ceux-ci doivent déjà composer avec un marché de l’immobilier en berne.

La directrice générale de la coopérative Group Digital (entre autres responsabilités), a été élue présidente de la FENACEREM (Fédération du commerce et services de l’électrodomestique et du multimédia) par le conseil d’administration de la fédération. Premier objectif de la nouvelle présidente : finaliser la fusion-absorption de la FENACEREM et de la FNAEM au sein de la CNEF d’ici à fin 2025.

En cumul, après quatre mois depuis début 2024 (janvier-avril), l’activité des magasins du commerce spécialisé est identique à celle de l’an passé (+0,1 %), c’est-à-dire inférieure à l’inflation, qui est estimée à +2,1 % ; les volumes de vente en magasin sont donc en légère baisse.

Visiblement en pleine réflexion sur l’impact de l’intelligence artificielle dans le commerce, les Français lui attribuent tout de même de nombreux avantages, dans leurs achats au quotidien, au cours des prochaines années ; en termes de rapidité, mais aussi sur des aspects liés au confort et à la personnalisation.

Contrairement au mois de février, aucun segment ne parvient cette fois-ci à tirer son épingle du jeu en mars. La literie, jusqu’alors épargnée, voit son activité chuter, même si ce marché est celui qui enregistre le plus faible recul de ses ventes sur le mois. Le plus fort repli est une nouvelle fois enregistré par la cuisine.

Les prévisionnistes anticipent pour 2024 une croissance du pouvoir d’achat légèrement supérieure à celle enregistrée en 2023. Si cette prévision se confirme et que la marche du monde ne remet pas en cause les signes ténus de retournement déjà perceptibles, alors la dynamique de la consommation pourrait s’approcher de son régime de croisière. C’est en tout cas ce qu’affirme L’ObSoCo.

Selon “l’Observatoire de la petite entreprise” FCGA/Banque Populaire, la conjoncture défavorable de l’exercice 2023 a fatalement affecté les performances des petites entreprises. Celles-ci sont tout de même parvenues à maintenir un taux d’activité de +1,5 %, en nette baisse cependant par rapport aux +6,6 % de 2022.

Dans le cadre de ses missions, l’éco-organisme Ecomaison aide les professionnels adhérents à atteindre les objectifs édictés par la loi AGEC et à être en conformité, en proposant notamment de nombreux outils et services pour la reprise. Parmi ceux-ci figurent désormais “izidore PRO”, une offre développée par izidore permettant aux marques, aux distributeurs et aux magasins, de lancer leur solution de seconde vie clé en main.

En matière de préparation des achats, internet est clairement plébiscité par les consommateurs, puisque trois quarts des recherches, en amont de l’acte d’achat, se font en ligne. Mais l’investigation en magasin existe aussi, avec une prégnance plus forte pour certaines catégories de produits, notamment l’équipement de la maison et la mode (40 % des Français).

Selon Procos, l’activité du mois de mars 2024, dans les magasins des enseignes du commerce spécialisé, à surface égale, se termine en croissance de 6,1 % versus mars 2023. Une bonne nouvelle après plusieurs mois d’activité un peu atone. Tous les secteurs affichent une croissance plus ou moins importante.

La literie apparaît ni plus ni moins comme le seul segment ayant vu son activité progresser sur février. Par ailleurs, si les ventes de cuisines s’affichent pour leur part toujours en recul, la chute des ventes se ralentit. Et c’est finalement le rembourré qui apparaît le plus à la peine sur ce deuxième mois 2024.

L’ancienne signature, “#MyFurnitureIsFrench”, disparaît au profit de “French Living in Motion”, qui signe d’ores et déjà les prises de parole de la filière sur le site dédié à l’international (“frenchliving-inmotion.com”) et sur Instagram. L’inauguration de cette nouvelle identité aura lieu à l’occasion de la prochaine “Milan Design Week 2024” et de la 62e édition du “Salone del Mobile”.

La baisse de l’inflation et la remontée des taux incitent les Européens à davantage épargner. Ils sont 53 % à vouloir mettre plus d’argent de côté en 2024, contre 51 % l’an passé. Du côté des intentions d’achat, une bonne résistance est constatée, avec 53 % des Européens qui déclarent avoir envie de consommer en 2024. Ce chiffre se situe au même niveau qu’en 2023 et laisse penser que la consommation des ménages en Europe sera résiliente cette année, malgré un contexte toujours peu propice.

Comme à l’accoutumée, les résultats du panel Procos, pour le mois de février 2024, révèlent des écarts en fonction des marchés étudiés. Durant ces 29 jours en tout cas, l’activité de l’équipement de la maison, plus positive que les mois précédents, est plutôt de nature à donner de l’espoir à ce secteur, dont le dernier semestre fut compliqué. Les prochains mois nous diront si l’orientation de la consommation de produits non alimentaires s’améliore durablement cette année…

Selon la FACT, la fréquentation a fortement progressé en 2023 dans l’ensemble des sites commerciaux. Les centres-villes ont ainsi enregistré une fréquentation en nette hausse : +11,2 %. Les zones commerciales de périphérie ont vu leur fréquentation croître de 5,7 % en moyenne. Quant aux centres commerciaux, ils affichent une fréquentation en progression de 1,9 % sur la même période. Mais de fortes disparités existent selon les secteurs d’activité…

L’année 2024 débute avec une performance du mois de janvier dans la lignée de celles des mois précédents : l’activité en valeur recule de 6 %. Les arbitrages des Français n’ont pas forcément été défavorables au meuble durant cette période ; il semble surtout que les ménages se sont montrés raisonnables pendant les soldes.

En association avec le “World Sleep Day”, la “Journée du Sommeil” a été créée en 2000 par l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV). L’événement, dont la vocation consiste notamment à sensibiliser le grand public aux bienfaits d’un sommeil de qualité, aura lieu le vendredi 15 mars prochain.

Dans la période économique difficile et incertaine que nous traversons, l’augmentation très importante du nombre de points de vente en franchise (entre autres indicateurs à la hausse), prouve une nouvelle fois que les entrepreneurs, franchiseurs et franchisés, ont bien compris les atouts du modèle de commerce organisé qu’est la “franchise”.

Les résultats décevants de janvier n’ont pas vraiment apporté de signaux positifs. Une certaine reprise de la consommation est toutefois envisageable pour cette année (qui ne fait encore que commencer), même si divers facteurs continueront de produire leurs effets sur plusieurs secteurs : les tensions sur les marchés du logement, la baisse de la natalité, d’éventuels mouvements sociaux…

On s’aime, mais chacun chez soi ! Cette nouvelle façon de vivre le couple, qui, selon L’ObSoCo, s’inscrit dans une remise en question des normes dans le champ amoureux, mais aussi dans nos manières d’habiter et, plus largement, de consommer, pourrait bien offrir aux acteurs du mobilier domestique l’opportunité de répondre aux besoins d’agencement non pas d’une entité, mais de deux.

Parmi les catégories les moins dynamiques pendant les soldes d’hiver, on retrouve les équipements sportifs, les jardineries et les fleuristes, ainsi que les magasins de bricolage, de décoration et d’aménagement de l’intérieur. Chez ces derniers, la consommation est en retrait de 7 % par rapport à 2023. Le panier moyen diminue également, passant de 72 € à 69 €.

Face à la hausse des prix et à l’urgence climatique, les cyberacheteurs ont continué de modifier leurs comportements, en arbitrant entre consommation, déconsommation et épargne ; entre achats de produits et de voyages/loisirs ; entre achats de produits neufs et de seconde main. Dans ce contexte, ce sont les domaines de l’indispensable (alimentaire) et du loisir, qui se maintiennent le mieux.

Cette opération, qui va permettre à Sofinco de consolider ses activités sur le paiement fractionné (un service devenu incontournable pour répondre à la demande de ses différents partenaires et aux clients finaux), offre en outre au spécialiste du crédit à la consommation la possibilité de se positionner plus que jamais comme un acteur de référence sur le marché français.

Le 8 février dernier, une centaine de professionnels de la literie a répondu présent à l’invitation du collectif “Parlons Literie”, qui tenait la 4e édition de ses “Rencontres”. L’occasion de faire un point sur les actions menées l’an dernier bien sûr, mais surtout d’initier celles qui, en 2024, auront à nouveau pour principal objet de mettre la literie au cœur des solutions de bien-être du consommateur français et de soutenir le marché de renouvellement.

Objectif de ce premier AMI “Réemploi et Territoires” : permettre à Ecomaison d’identifier et de faire émerger, dans chaque région, des projets construits dans une logique de dynamique territoriale. Pour candidater, les dossiers (formulaire, présentation et annexe financière) sont à déposer sur la plate-forme dédiée, au plus tard le 30 avril prochain.

Les effets de la crise énergétique et économique, sur les attitudes des consommateurs, seront encore bien présents en 2024, révèle, entre autres enseignements, l’étude “Profil 2024 by Sofinco”, rendue publique fin janvier dernier. Les intentions d’achat des Français restent malgré tout plutôt bien orientées en ce qui concerne l’aménagement de la maison.

Si l’ameublement domestique a bouclé l’année 2023 sur une baisse de 2,5 % en valeur et même si cette évolution masque une chute des volumes, les sévères reculs d’activité dans l’immobilier ne se sont pas répercutés de manière aussi forte qu’on pouvait le craindre sur la valeur du marché du meuble qui, au final, fait mieux que limiter la casse ! L’intérêt marqué des ménages pour leur intérieur ne se dément pas. Et la capacité de la filière à relancer le trafic en magasin sera l’un des principaux enjeux de l’année 2024.

Le commerce, aujourd’hui “unifié”, aurait achevé la révolution industrielle de l’Internet. Désormais, alors que le “offline” se digitalise, tandis que le “online” lui, tend à s’humaniser, l’une des pistes d’optimisation les plus prometteuses, pour les marques et les enseignes, résiderait dans la très à la mode intelligence artificielle, outil inédit d’une forme d’individualisation de masse de la relation client. Avec, plus que jamais au cœur des enjeux : une nouvelle forme de proximité avec le consommateur. Prospective.

Pour favoriser le réemploi et éviter de mettre au rebut les éléments d’ameublement, l’éco-organisme prévoit notamment de diversifier les sources d’approvisionnement des associations partenaires et renforce son accompagnement financier auprès de celles-ci. Ecomaison table ainsi sur une progression, dès 2024, de 25 % des quantités de produits supplémentaires acheminées vers les associations, soit l’équivalent de 141 000 tonnes par an.

Pour certains secteurs, dont l’équipement de la maison, décembre a été mauvais. L’effet “inquiétude” sur le pouvoir d’achat et les prix élevés dans l’alimentaire, toujours très présents, contraignent les capacités d’achats non alimentaires des consommateurs, malgré la volonté de faire plaisir et de se faire plaisir.

Selon une enquête de l’institut Toluna Harris Interactive menée pour la Fevad, les Français ayant acheté des produits ou services sur le Web au cours des douze derniers mois, se déclarent “satisfaits” pour 93 % d’entre eux, dont 36 % “très satisfaits”. Mais face aux difficultés du moment, les cyberacheteurs tentent de s’adapter…

Ecomaison, l’éco-organisme historique de la filière ameublement, a annoncé une évolution de son barème d’éco-participation applicable au 1er janvier 2024. Fabricants et distributeurs, Ecomaison met à votre disposition des outils et webinaires pour vous accompagner dans vos obligations.

Fort de ces nouveaux agréments, l’éco-organisme lance une campagne nationale d’adhésion : les pré-adhérents ayant signé une lettre d’intention au cours de ces derniers mois, ainsi que les autres metteurs sur le marché souhaitant rejoindre Valobat, peuvent désormais adhérer en se rendant sur le site internet de l’éco-organisme.

L’éco-organisme Valobat, en lice pour obtenir son agrément concernant la REP DEA (éléments d’ameublement), accroît son capital avec l’entrée d’un nouvel actionnaire : l’Association française des industries de la salle de bains (AFISB). Ce nouvel associé vient muscler la présence de Valobat dans l’univers de l’ameublement de la salle de bains.

Pour aider les dirigeants de ses enseignes adhérentes à parfaire leurs connaissances et/ou réflexions autour de l’intelligence artificielle, la CNEF (Confédération nationale de l’équipement du foyer), lance ses “Ateliers de l’IA” qui, en 2024, se déclineront en trois webinars organisés avec des spécialistes partenaires de l’organisation.

Tous les six mois, Maison&Objet livre un “bulletin météo” de son secteur de prédilection, au travers de son “Baromètre de l’industrie internationale de la décoration, du design et de l’art de vivre”. Il ressort de la dernière mouture de cette enquête, qu’après des tempêtes renouvelées et des perturbations encore en cours, le secteur renoue avec un climat plus stable, qui s’ouvre sur de nouvelles perspectives. Synthèse.

En cumul, à ce stade de l’année, la situation est la suivante pour les magasins, sur onze mois : en moyenne, le commerce spécialisé reste en très légère hausse en valeur (+1,7 %), soit une contraction des volumes de l’ordre de -1,5 %. Par secteur, la beauté/santé est à +10,7 %, alors que l’habillement est en baisse (-0,6 %), de même que la chaussure (-0,6 %), la culture/cadeaux/jouets (-2,2 %) et l’équipement de la maison (-1,4 %).

Depuis sa création, il y a 70 ans de cela, la certification “NF Ameublement”, délivrée par l’Institut technologique FCBA, a su s’adapter aux évolutions du marché, aux exigences des réglementations et aux attentes des particuliers. Encadrée par le Code de la consommation, elle permet au consommateur de disposer d’un critère de choix fiable et objectif. Ni plus, ni moins.

Selon l’IPEA, la chute d’activité du marché du meuble domestique se poursuit de manière significative sur octobre (-7 % vs octobre 2022), même si le marché reste encore en avance sur sa marque référence d’octobre 2019 (+6,2 %). Sur le mois, c’est encore la literie qui enregistre les meilleurs résultats.

À l’occasion du salon EspritMeuble, sous l’égide de la CNEF et profitant d’une remise de diplômes, Mobilier de France a livré son retour d’expérience sur la mise en place du CQP “Vendeur(euse) Conseil en Aménagement et Décoration de la Maison” par le biais de l’alternance, tandis qu’Ikea France s’est félicité d’avoir fait bénéficier neuf de ses salariés d’une validation des acquis de l’expérience (VAE), une première pour la branche ameublement. Mais la prévention des risques professionnels en entreprise fut aussi à l’honneur…

“Le French Design by VIA”, dont la mission consiste à transformer les industries de la création par le “design thinking” (afin de faire rayonner un art de vivre non seulement durable, mais aussi adapté à une époque caractérisée par la montée en puissance des comportements nomades et du digital), présente l’exposition “Nouvelles Tribus x Nouveaux Usages”. Instructif.

Fort d’un réseau de partenaires de reprise, collecte et traitement, Valobat prend l’engagement de faire bénéficier la filière DEA de l’infrastructure qu’il a développée pour la filière PMCB (“Produits et Matériaux de Construction du Bâtiment”). À l’heure actuelle, une centaine d’entreprises ont déclaré leur volonté d’adhérer à Valobat sur la filière de l’ameublement, en signant une lettre d’intention.

La Fevad, organisation représentative du secteur du commerce électronique et de la vente à distance, annonce que les ventes de produits sur internet sont en léger repli, à -1,5 %. Le e-commerce n’échappe pas à la règle : face à la hausse des prix et à la perte de pouvoir d’achat, les consommateurs sont nombreux à arbitrer en faveur de l’alimentation et des prix bas.

Les améliorations attendues, en matière d’inflation en général et concernant une contraction des hausses de prix de l’alimentaire en particulier, devraient, sauf événement majeur, redonner un peu de souffle aux activités du commerce spécialisé au premier semestre 2024. Acceptons-en l’augure, même si cette inflexion des prix mettra sans doute du temps à être perçue… par des consommateurs toujours sceptiques vis-à-vis des annonces d’évolutions positives.

Bien que les prix à la consommation aient progressé de 4,9 % sur un an à fin septembre selon l’Insee, le prix moyen d’un trois-pièces a, lui, diminué de -1,42 % en six mois. En cet automne 2023, il faut donc compter en moyenne 322 676 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France. Cela représente environ 4 650 € de moins qu’il y a six mois pour un T3, surface de référence dans la promotion immobilière.

Louis-Paul Laclaire a pour feuille de route la transformation du schéma opérationnel d’Ecomaison pour toutes les filières que l’éco-organisme prend en charge : ameublement, literie, textiles de décoration, bâtiment, bricolage, jardin, jouet.

Avec une baisse de 7,6 % versus septembre 2022, le neuvième mois de l’année 2023 présente le deuxième recul le plus important en valeur après le mois de juin, période durant laquelle les consommateurs avaient ralenti leurs dépenses en prévision des soldes.

Sur neuf mois, l’activité des enseignes du commerce spécialisé en magasin, sur les marchés de l’équipement de la personne, de l’équipement de la maison et – nouveauté –, du sport, connaît des croissances très faibles en valeur par rapport à 2022 (entre +0,1 % et +1,5 %). Ce qui démontre la poursuite des baisses de volumes vendus, déjà constatées avant l’été.

Avec une progression de 13,8 % en 2022, la croissance du e-commerce reste forte et ce mode de consommation ne cesse de prendre de l’ampleur en France… Un canal de distribution qui, visiblement, fait l’unanimité auprès de la “Gen Z” (née avec le e-commerce), puisque 97 % de ses membres l’ont adopté. Mais comment répondre aux nouvelles attentes de cette génération, appelée à devenir l’une des principales clientèles de demain ?

Sur neuf mois, l’activité des magasins du commerce spécialisé, tous secteurs confondus, progresse encore très légèrement en valeur par rapport à 2022 (+3,3 %). Ce qui signifie toutefois une stabilisation des volumes vendus, compte tenu, encore une fois, des hausses de prix mises en œuvre durant la période.

Depuis 2006, l’emploi salarié dans le commerce de détail, l’artisanat et la restauration, a progressé de 586 440 ETP (équivalent temps plein), soit une progression de 25 %. Pendant la même période, l’ensemble de l’emploi salarié a progressé de 12 %.

Face à l’inflation qui perdure, les ménages réduisent le nombre de leurs achats et opèrent des arbitrages, constate la “Fédération du e-commerce et de la vente à distance”. Ce sont les ventes de services qui maintiennent la croissance du e- commerce, avec une hausse de 14 % sur le deuxième trimestre.

Seule la literie est parvenue à surnager et à faire progresser son chiffre d’affaires au cours du mois d’août dernier, alors que tous les autres segments ont enregistré des résultats en recul. Encore une fois, ce sont le jardin et la cuisine qui affichent les replis les plus marqués.

Dans un contexte inédit de prise de conscience généralisée autour de la durabilité, la filière et ses partenaires, fidèles à leurs engagements, porteront collectivement la voix du meuble français auprès des consommateurs et des professionnels, grâce à une nouvelle édition de la campagne “#Meublezvousfrançais”, mise en place dès ce 3 octobre.

Ouf de soulagement à propos de la TVA à taux réduit du bâtiment : le projet de loi de finances 2024, présenté le 27 septembre dernier en Conseil des ministres, ne comporte aucune disposition visant à relever ce taux ou à en réduire le périmètre d’application pour 2024.

Bonne nouvelle pour l’association représentant les fabricants et fournisseurs de matelas en Europe : en 2023, pas moins de huit entreprises ont rejoint ses rangs. Tous s’accordent à dire que les défis du secteur (au premier rang desquels les questions liées à la durabilité) doivent être adressés au niveau européen.

Le 14 septembre dernier, les “Troisièmes Rencontres de Parlons Literie” ont rassemblé les 50 membres du collectif et leurs invités, à Paris, au pied de la tour Eiffel. Un événement important pour la filière literie, une année presque jour pour jour après la relance de l’association. Compte-rendu.

La CNEF et le SNEC coordonnent étroitement leurs actions, en lien avec d’autres organisations professionnelles (dont l’Ameublement français), pour obtenir du gouvernement la sécurisation du taux réduit de TVA, au bénéfice de leurs adhérents distributeurs de cuisines et d’ameublement sur mesure.

L’activité des magasins s’est fortement dégradée par rapport à juillet, avec une augmentation en valeur de 1 % seulement pour l’ensemble du commerce spécialisé. Ce qui se traduit par une réduction des volumes vendus, compte tenu des augmentations de prix.

L’IPEA note deux bémols en ce qui concerne cette performance de juillet 2023. Le premier concerne le résultat de juillet 2022, qui avait été en recul de plus de 11 % et qui n’est pas compensé par la croissance de cette année. Le second est lié au fait que cette progression est loin de profiter à tous les acteurs du marché…

Le rapport du centre d’études industrielles Csil, intitulé “L’industrie mondiale du matelas” (‘The world mattress industry’), désormais disponible, pronostique une contraction probable du secteur à la clôture de l’exercice 2023. Mais il identifie aussi un certain nombre de facteurs encourageants pour 2024. Aperçu.

Les notaires de France notent notamment que le printemps, traditionnellement synonyme de pic d’activité dans l’année immobilière, n’aura cette fois pas opéré d’effet de rattrapage, confortant ainsi un marché tournant de plus en plus au ralenti…

Bernard Reybier a déjà assuré un premier mandat, au cours duquel il a notamment créé le palmarès du “French Design 100”, destiné à honorer 100 objets ou projets qui font rayonner la créativité du design français dans le monde.

En ce qui concerne le cumul des six premiers mois de l’année, l’ameublement domestique s’affiche en repli de 1,9 % à fin juin 2023 par rapport à 2022, annonce aussi l’IPEA, mais « le marché reste plus largement en avance par rapport à 2019 (+8,9 %), même si la progression demeure inférieure à la hausse des prix sur la période ».

Le successeur de Philippe Moreau aura pour mission de poursuivre le projet sectoriel 2022-2027 de la filière. Jusqu’alors trésorier de l’Ameublement français, Arnaud Visse est, nous dit-on, « reconnu par toute la profession pour son engagement au service du collectif, ses valeurs humaines et la réussite de son entreprise ».

La “Fédération pour la promotion du commerce spécialisé” rappelle que, comme pour les mois précédents, les augmentations de chiffres d’affaires doivent être appréhendées en ayant toujours à l’esprit qu’elles résultent en partie de hausses de prix par rapport à 2022 ; les ventes en volume évoluent moins favorablement.

Le e-commerce est visiblement plébiscité par les Français, ceci sans distinction de genre, de catégorie socioprofessionnelle, ou de zone géographique. S’il subsiste un léger différentiel entre les plus de 65 ans et le reste de la population, qui consomme sur internet à plus de 80 %, on voit que le e-commerce est devenu un moyen de consommation intégré et généralisé au sein de la population, dépassant toutes les frontières sociologiques.

La catégorie des 18-24 ans s’avère la plus affectée par l’inflation : leurs dépenses par carte n’augmentent que de 4,9 % depuis le début de l’année, soit plus de 3 points de moins que la moyenne des Français. Or les stratégies anti-crise de cette génération méritent une attention spécifique : elles préfigurent souvent des tendances futures plus généralisées.

Le contexte économique a conduit l’éco-organisme à revoir le barème 2024 des éco-participations, pour permettre à la fois de maintenir le niveau de service aux collectivités locales ; de poursuivre les actions d’innovation et d’encouragement de l’investissement industriel pour le recyclage et la valorisation ; d’accompagner les entreprises adhérentes dans la réponse réglementaire aux dispositions de la loi AGEC ; d’accélérer l’éco-modulation sur les produits et les services.

Les enseignes du commerce spécialisé, principalement non-alimentaires, ont été impactées par la baisse du “reste disponible” dans le budget des ménages, fortement touchés par les hausses des prix de l’alimentaire. Une situation qui, par ailleurs, a limité la capacité de ces mêmes enseignes non-alimentaires à augmenter leurs prix de vente aux consommateurs.

Dans un contexte de “vague verte”, la communication doit se montrer extrêmement prudente… et sincère ! : 50 % de nos concitoyens estiment que les grandes entreprises n’ont en réalité rien changé quand elles font la promotion d’actions en vue de réduire l’impact environnemental et sociétal de leurs produits.

À date et au sortir des travaux engagés, à destination des nouveaux recrutés ou des salariés en poste, il existe aujourd’hui cinq CQP (Certificats de qualification professionnelle). Et pour dispenser ces formations, au 30 mai 2023, 26 organismes agréés sont habilités pour un ou plusieurs de ces CQP.

La transformation d’Ecomaison induit une évolution de sa gouvernance, afin d’inclure les nouvelles filières pour lesquelles il est agréé. Le conseil d’administration de l’éco-organisme a donc été remanié, pour une représentativité équitable entre les secteurs.

9 Français sur 10 ont réduit leurs dépenses ou prévoient de le faire en 2023. Aux premiers rangs de ces réductions se trouvent les sorties au restaurant (51 %), les voyages & vacances (44 %), ou encore les achats de mode & accessoires (43 %), considérés comme des dépenses moins essentielles. Les catégories liées à l’habitat et son équipement arrivent ensuite : la décoration à 38 %, l’ameublement à 36 %.

L’IPEA relève toutefois « de belles progressions en valeur de la literie, qui domine les ventes en mai, alors que la cuisine s’affiche plus en retrait et ferme la marche ». Le meublant continue également de briller sur le mois, notamment grâce aux bonnes performances de certaines enseignes de la grande distribution ameublement ou de l’ameublement milieu/haut de gamme, qui continuent de résister.

Valobat, l’éco-organisme agréé pour la REP (“Responsabilité Elargie du Producteur”) concernant les “Produits et Matériaux de Construction du Bâtiment” (PMCB), va prochainement déposer des demandes d’agrément afin d’opérer deux nouvelles filières : les “Articles de Bricolage et de Jardin” (REP “ABJ”) et les “Déchets d’Eléments d’Ameublement” (REP “DEA”).

Aux yeux de nos concitoyens, la dynamisation des commerces de proximité doit être la priorité numéro un pour l’avenir de nos centres-villes. D’ailleurs, même passé l’élan patriotique observé après les confinements, 89 % des Français  (+2 points vs 2022) considèrent toujours que faire ses achats dans les commerces situés en centre-ville est un acte citoyen à leur encontre.

Entre autres révolutions, les experts de l’Echangeur BNP Paribas Personal Finance estiment que le magasin se transforme en média à part entière. « Les prémices d’un commerce mêlant mondes virtuels et réels commencent à émerger, affirment-ils. Le magasin devient une passerelle pour le commerce omniverse ». Dans ce cadre, le point de vente va devoir, selon eux, appréhender les codes du gaming et des métavers, tout en gardant à l’esprit une logique d’efficience. Il va donc continuer sa transformation, se rapprocher des sites e-commerce dans son fonctionnement, pour, par la suite, basculer vers les mondes immersifs. Vraiment ?

Cette situation compliquée est à mettre en parallèle des discussions au Parlement sur l’opportunité, dans une telle conjoncture, de prolonger le plafonnement de l’indexation des loyers commerciaux à +3,5 % pour tous les magasins sur un an.

Les ventes en ligne atteignent les 39,2 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année. La croissance (de 20,2 %), reste largement tirée par les ventes de services, alors que les ventes de produits ont tendance à stagner.

Par rapport à 2019, le marché parvient à garder une légère avance sur le mois d’avril de cette dernière année référence, avec une progression de 2 % ; à comparer, toutefois, avec la croissance des prix de près de 20 % estimée par l’Insee sur la période.

Quinze fédérations de commerce et cinéma demandent aux sénateurs de voter le prolongement du plafonnement de l’ILC (Indice des loyers commerciaux) à 3,5 % et de l’élargir à toutes les tailles d’entreprises. Pour mémoire en effet, le dispositif actuel limite son application aux TPE/PME.

À l’issue des assemblées générales du 24 mai dernier, la CNEF et ses deux fédérations professionnelles représentatives (FNAEM et FENACEREM), ont fait savoir qu’elles se donnaient plus que jamais les moyens de poursuivre et d’intensifier leurs actions en matière sociale, économique, mais également environnementale.

Malgré plusieurs légères hausses des chiffres d’affaires sur divers marchés, le mois d’avril a, de nouveau, été marqué par une contraction du nombre de produits vendus, en particulier dans l’habillement et l’équipement de la maison.

Même s’il s’en tire mieux que d’autres marchés de la maison, l’ameublement domestique, qui peine à maintenir ses ventes sur le premier trimestre, devrait encore pâtir des arbitrages des ménages. Selon l’IPEA, pour les mois à venir, le marché du meuble pourrait toutefois s’appuyer sur les transactions immobilières dans l’ancien, sur l’engouement des Français pour leur logement et sur la propension de nos concitoyens à considérer leur intérieur comme une valeur refuge en période de crise.

Ecosystem, éco-organisme et « entreprise à mission » en charge des appareils électriques et électroniques, dresse un bilan positif des mesures mises en place pour allonger la durée de vie des appareils. Le “bonus réparation” notamment, dispositif déjà efficient alors qu’il n’a même pas six mois d’existence, devrait rapidement monter en puissance.

Une nouvelle fois, les fédérations demandent au gouvernement de généraliser en urgence le plafonnement de l’ILC à +3,5 % pour tous les baux indexés sur cet indice (quelle que soit la taille de l’entreprise exploitante) et de prolonger cette mesure pour une année supplémentaire.

Alors qu’en ce début 2023, les consommateurs français subissent toujours une inflation haute, l’indicateur du groupe GfK révèle qu’ils ne révisent pas à la baisse leurs exigences en matière de critères socio-environnementaux. Mais pour combien de temps encore ?

« Le climat social est manifestement très défavorable aux magasins de centre-ville, constate Procos. Dans ce contexte de contraction, à la fois de l’activité des points de vente et des ventes internet, les hausses de prix ne compensent qu’en partie des baisses importantes de volumes de vente dans de nombreux secteurs ».

Sur le premier bimestre de cette année, nous apprend l’IPEA, parmi les segments majeurs du meuble, « ce sont les meubles meublants qui enregistrent la meilleure progression en valeur, avec de belles performances de la grande distribution ameublement notamment ».

Un premier webinaire issu de cet accord inédit se déroulera le mercredi 12 avril prochain à l’intention des adhérents de la CNEF. Entre autres objectifs : faire profiter les professionnels concernés de l’expertise et des analyses reconnues de GfK.

Six fédérations de commerçants demandent à la fois la prolongation du dispositif de plafonnement de l’indexation des loyers commerciaux à +3,5 % et son extension à l’ensemble des baux indexés à l’indice des loyers commerciaux (ILC), quelle que soit la taille ou la nature de l’exploitant.

Dans le cadre de cette nouvelle coopération, Ecomaison et le SNEC organisent deux webinaires ; le premier ce jeudi 30 mars, le second le mercredi 10 mai prochain. Ces réunions interactives en ligne s’adressent aux professionnels de la cuisine équipée et de l’habitat sur mesure qui mettent en place les éco-participations sur leurs produits.

« En rejoignant les nombreuses enseignes de cuisines déjà adhérentes, soulignent les responsables de la confédération, Noblessa Cuisines apporte un soutien précieux aux nombreuses actions engagées par la CNEF au profit des cuisinistes ».

La fréquentation des magasins a été en hausse en février par rapport à 2022, de 6,5 % ; soit un trafic proche de celui de février 2019. Les consommateurs sont donc toujours bel et bien présents, malgré le contexte (inflation) et les difficultés de mobilité (carburants, mouvements sociaux…).

La fréquentation des centres-villes (fréquentation moyenne pour l’ensemble de la France, hors Corse) progresse en moyenne de 6,8 % en 2022 par rapport à 2021 avec, dans le “top 3” des régions qui enregistrent les plus belles performances, les Hauts-de-France (+10,7 %), la Nouvelle-Aquitaine (+8,9 %) et le Centre-Val de Loire (+8,5 %).

« Encore une fois, avance l’IPEA, la hausse des prix du mobilier permet de soutenir la valeur du marché, alors que les soldes n’auront permis de relancer ni la fréquentation, ni les volumes vendus, même s’ils se sont montrés efficaces en fin de période pour le milieu/haut de gamme ».

Les chiffres clés de la franchise à retenir pour 2022 : 1 972 réseaux de franchise (+0,36 % par rapport à 2021) ; 84 497 points de vente franchisés (+6,8 %) ; 76,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires global (+11,4 %) ; 828 178 emplois directs et indirects (+4,12 %).

Les chiffres révélés ce jour par l’IPEA (Institut de prospective et d’études de l’ameublement) confirment les pronostics : après une année marquée par l’inflation et la guerre en Ukraine, les ventes de mobilier n’ont certes pas fait d’étincelles en 2022, mais se maintiennent, avec une croissance en valeur de 2 %, pour un chiffre d’affaires global du marché qui se stabilise juste en dessous des 15 milliards d’euros.

Entre promesse intrinsèque d’offres à bas prix et valorisation implicite d’une certaine agilité des consommateurs, le low cost séduit désormais bien au-delà des seuls ménages modestes, nous apprend l’édition 2023 de l’Observatoire Cetelem. Autrement dit : le low cost s’adresse dorénavant à tous ; chacun y trouve son compte, que ce soit par choix ou par contrainte.

Le collectif des professionnels de la literie et l’institut Ipsos ont enquêté sur le lien entre la qualité du sommeil de nos concitoyens et la qualité de leur literie. Résultat ? Implacable ! : alors que les troubles du sommeil battent tous les records, la literie s’impose comme une alliée majeure à prendre en compte. Mais les Français en sont-ils tous conscients ?

Pour cette nouvelle édition, qui se tiendra début juillet 2023, les entreprises ont jusqu’au 13 mars prochain si elles veulent candidater, fait savoir L’Ameublement français. Un comité de sélection, réuni par Bruno Le Maire, Olivia Grégoire et Roland Lescure, aura pour mission d’établir la liste des produits qui seront présentés aux Français lors de cette exposition.

Pour l’ensemble de l’année 2022, le e-commerce conserve une croissance globale dynamique, en dépit du recul de la vente des produits, en particulier au premier semestre. Ce ralentissement, lié à un effet de base post-Covid, a en effet été compensé par la progression significative des ventes de services.

« Il faut enfin se rendre compte qu’une enseigne n’est qu’une consolidation de dizaines ou de centaines de points de vente, qui sont de petites exploitations, avec des niveaux de marge et de rentabilité faibles, prévient Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos. Dans le commerce de détail, il n’y a pas que les TPE qui sont fragilisées ».

Selon l’ObSoCo, nous vivons une (r)évolution socio-démographique dont les conséquences sont multiples. Sur le budget des ménages, sur les comportements de consommation, sur le logement, sur les territoires… Mais aussi, de facto, sur une nécessaire évolution de l’offre “ameublement” !

Forcés d’allouer une part croissante de leurs dépenses à certains postes (+29 % sur les carburants en 2022), les Français sont contraints de se restreindre sur d’autres (alimentaire -9 %), mais continuent de s’autoriser des petits plaisirs, notamment les sorties. La quête de plaisir(s) : LE levier de croissance par excellence en 2023 ?

« En rejoignant les nombreuses enseignes de cuisines déjà adhérentes de la CNEF, souligne la direction de la confédération, Veneta Cucine apporte un soutien précieux aux nombreuses actions engagées par la CNEF au profit des cuisinistes. Au travers de son adhésion, cette enseigne confirme également ses ambitions nationales ».

“Parlons Literie” augmente sa représentativité et investit massivement dans de très prochaines prises de parole, auprès de la profession, des médias grand public et surtout, du grand public. Le collectif de la filière literie renoue ainsi avec sa vocation première : inciter le public à reconsidérer son équipement de couchage comme un élément essentiel de bien-être ; participer à la revalorisation du métier ; et dynamiser le marché. Mais l’association va aussi devoir recruter de nouveaux membres. Et augmenter ses capacités de financement…

Selon l’étude “Profil 2023”, réalisée conjointement par Sofinco et l’Institut de la Maison – IPEA, ce sont les dépenses liées aux sorties qui seront rognées en premier (68,3 % des ménages) puis l’énergie (59,9 %) et l’habillement (59,4 %). Les dépenses liées à l’équipement de la maison arrivent en cinquième position, avec 53,5 % des ménages qui estiment qu’ils diminueront ce poste.

Dans le contexte socio-économique du moment, l’on s’attendait à voir les Européens jouer sur les leviers de l’épargne et de la consommation. Or tel n’est pas vraiment le cas : en moyenne générale, les intentions d’épargner des Européens sont en baisse de 3 points, tandis que celles de consommer sont sujettes à un élan contraire, en hausse de 5 points. Ce n’est pas le moins intéressant des enseignements du dernier “Baromètre Observatoire Cetelem”…

La Confédération nationale de l’équipement du foyer en appelle notamment à « l’aboutissement rapide des discussions européennes sur le marché de l’électricité, dont l’enlisement est de moins en moins acceptable ».

La filière s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de décarbonation et de développement économique, pour à la fois réindustrialiser durablement le pays et lutter contre le déficit commercial. Or en la matière, 2023 sera une année charnière.

Pour tous les secteurs, à l’exception de la restauration, l’activité de décembre 2022 a été meilleure que celle de l’avant-Covid, en décembre 2019. Quant à la fréquentation des magasins sur ce même mois de décembre, elle a été légèrement inférieure à celle de décembre 2021 (-1,2 % en moyenne et -2,4 % dans les centres-villes).

Avec d’autres fédérations, la CNEF réitère sa demande, visant à ce que toutes les entreprises puissent renégocier ou résilier sans frais leur contrat de fourniture d’électricité et ce, selon une périodicité et des modalités à définir. Elle renouvelle également sa demande de voir le gouvernement adopter des dispositifs de soutien déjà mis en place dans d’autres pays et ayant démontré leur efficacité.

Alors, le verre de boisson détox au sortir des agapes de fin d’année : à moitié vide ou à moitié plein ? Tandis que certains observateurs, un tantinet alarmistes, évoquent déjà une « gilet-jaunisation » de ce que serait le mouvement de rejet de la future réforme des retraites, l’inflation, qu’on imaginait à la hausse pour décembre, connaît finalement un ralentissement (selon les données provisoires de l’Insee publiées le 4 janvier dernier, à fin décembre 2022, la hausse des prix a atteint 5,9 % sur un an ; vs 5,6 % en septembre, puis 6,2 % en octobre et novembre)… Dans ce contexte, où l’on ne sait plus trop quoi penser, les projections de l’IPEA (sur l’atterrissage 2022 et l’année à venir), apportent un éclairage, si ce n’est rassérénant, en tout cas rationnel.

Dans un contexte où, en novembre, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 0,3 % sur un mois et de +6,2 % sur un an, le recul de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat arrivent en tête des priorités de nos concitoyens.

La priorité d’Ecomaison pour 2023 sera d’améliorer le tri, le réemploi et la valorisation énergétique de ces produits. L’éco-organisme entamera également des démarches en R&D, pour développer des procédés techniques de recyclage efficaces et à faible impact environnemental.

« À la présidence du CODIFAB, dit le communiqué de presse de l’organisation, Cécile Cantrelle saura valoriser les quelque 200 actions et initiatives portées chaque année par le CODIFAB avec ses huit organisations professionnelles représentant près de 4 200 PME/ETI et plus de 15 000 artisans de l’industrie de l’ameublement et du bois ».

Le dernier conseil d’administration de la confédération, après consultation de l’ensemble de ses enseignes adhérentes, a adopté une recommandation en matière d’extinction des éclairages de magasins, maximum H+2 après leur fermeture.

Dans un contexte où l’industrie française doit relever les défis de la transition écologique et énergétique, de la réindustrialisation et de l’autonomie stratégique, de la compétitivité, des compétences et de l’attractivité des métiers, Dominique Weber travaillera à actualiser et compléter les feuilles de route du CSF Bois, pour soutenir la mobilisation et l’engagement de la filière sur tous ces sujets.

Côté trafic (Observatoire Procos/Stackr), la fréquentation des magasins s’avère légèrement inférieure à celle de novembre 2021 (-0,3 %) et reste en retrait de 21 % en moyenne par rapport à 2019, aussi bien dans les centres-villes que dans les centres commerciaux.

Dans un communiqué de presse commun, l’Alliance du Commerce, la Fédération française de la franchise et Procos (Fédération pour la promotion du commerce spécialisé), demandent aux bailleurs de plafonner l’indexation des loyers commerciaux à un maximum de +3,5 % en 2023.

Plusieurs grands secteurs du e-commerce, dont le mobilier/décoration, retrouvent un niveau proche de celui de l’an dernier ; tandis que les ventes de produits électroniques accusent un nouveau recul.

« Pour finir l’exercice au moins étal par rapport à 2021, avance l’IPEA, il faudrait que le marché chute en moyenne de 9 % sur les deux derniers mois, ce qui paraît peu probable au vu de ses résultats depuis la rentrée et des hausses de prix déjà mises en place ou à venir, même si les arbitrages des ménages se renforcent. Le marché devrait donc clôturer l’exercice sur une faible croissance de son chiffre d’affaires ».

Au cours de leur vie, 68 % des Français indiquent qu’ils ont déjà acheté un meuble d’occasion et 50 % qu’ils en ont déjà vendu un. Si l’on s’intéresse aux deux dernières années, on recense 4,6 millions de ménages acheteurs de mobilier d’occasion et cela représente 16,1 % des 28 millions de ménages en France.

Procos profite de son point mensuel de conjoncture pour rappeler que la période qui débute est évidemment cruciale pour les enseignes de nombreux secteurs du commerce spécialisé. Quelle sera l’attitude des consommateurs ? Quelles conséquences auront les baisses de pouvoir d’achat et les inquiétudes afférentes dans les arbitrages des Français ? Nos concitoyens se feront-ils plaisir pour les fêtes, en prévision d’une année 2023 annoncée comme difficile ?

Sur les neuf premiers mois de l’année, le résultat en cumul progresse peu par rapport à fin août, que ce soit comparé à 2021 (avec une croissance de 1,8 %) ou par rapport à 2019 (avec un +9,7 %).

Dans sa démarche, le collectif “Parlons Literie” affiche la volonté de donner une place de choix au point de vente et d’inciter le public à venir y essayer les différentes solutions de couchage avant d’acheter. La prochaine évolution du site sera d’ailleurs un “Store Locator” (géolocalisation) permettant aux consommateurs de trouver les magasins les plus proches de chez eux.

Procos avertit que « le début d’octobre s’avère préoccupant, car la pénurie de carburants impacte la fréquentation des points de vente dès à présent, à -20 % dans les centres commerciaux de périphérie, touchés par les difficultés de mobilité ».

La vente en ligne confirme son caractère indispensable pour de nombreuses enseignes : 14 000 nouveaux sites marchands ont vu le jour en un an, soit une augmentation de 7 %, malgré une croissance plus modérée que l’an dernier (+16 %), lors du troisième confinement.

Synthèse des principaux résultats du rapport “Access Panel 2022”, dévoilés fin septembre par l’Echangeur BNP Paribas Personal Finance, qui permettent de déterminer en quoi la crise sanitaire a modifié de manière pérenne (ou non) les usages et attitudes des consommateurs Français, en particulier dans leurs arbitrages entre physique et digital.

Yves Audo, président du CdCF, souligne « l’importance d’aller très vite, pour protéger les commerces les plus fragiles et éviter une catastrophe économique et sociale, qui se traduirait par la disparition en chaîne d’entreprises du commerce et de leurs fournisseurs ».

Un seul produit parvient véritablement à tirer son épingle du jeu et à faire progresser ses ventes sur ce mois : le meuble meublant ; alors que les autres familles du secteur reculent légèrement, « voire un peu plus fortement en ce qui concerne la literie ». Côté circuits, ce sont encore une fois les spécialistes cuisine et la grande distribution ameublement qui se démarquent, avec les meilleures performances sur le mois.

Un décret publié au Journal officiel le 30 avril 2022, prévoit en effet que les producteurs, importateurs, distributeurs de biens de consommation (équipements informatiques, appareils électroménagers, vêtements, meubles, matériaux de construction…), devront communiquer ces informations (durables, réparables, recyclables ?) sur les produits qu’ils vendent, avec une mise en œuvre progressive de cette obligation, en application de l’article L541-9-1 du code de l’environnement.

Acteur historique pour le tri, la collecte, le réemploi et le recyclage des éléments d’ameublement et de la literie, rappelons ici qu’en 2022, Eco-mobilier a étendu son activité aux jouets, ainsi qu’aux articles de bricolage et de jardin. Mécaniquement, avec désormais les produits et matériaux de construction du bâtiment (et bientôt les textiles de décoration !), Eco-mobilier devient le premier éco-organisme de la maison, multifilière et multimatériaux.

Citeo, Ecosystem, Eco-mobilier et Refashion, mettent à disposition de leurs metteurs sur le marché adhérents une trame commune de plan de prévention des déchets et d’éco-conception des produits, en réponse à une nouvelle obligation de la loi Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire (AGEC).

La nouvelle griffe transversale de l’APL veut jouer le rôle d’un authentique “coach” auprès du grand public : il est un expert qui aime partager son expérience et ses connaissances ; il est toujours disponible et à l’écoute ; bienveillant et attentif, il accompagne chacun selon ses besoins ; didactique, il sait parler avec simplicité et donne envie d’aller plus loin.

“#Meublezvousfrançais” est né en juin 2020, dans le contexte de la crise sanitaire. Il s’agit d’un partenariat inédit associant l’Ameublement français (l’organisation professionnelle des acteurs de la fabrication d’ameublement et de l’aménagement des espaces de vie) avec de grandes enseignes nationales de la distribution, à travers une opération de communication de grande ampleur.

Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, sur ce mois de juillet 2022, les créations d’entreprises augmentent dans tous les grands secteurs d’activité par rapport à celles du mois précédent. En particulier, elles augmentent fortement dans le soutien aux entreprises (+5,1 % après +1,2 %), ainsi que dans le commerce.

Le “Rapport National sur l’Emploi en France” d’ADP mesure chaque mois la croissance de l’emploi salarié du secteur privé (hors agriculture) en France métropolitaine. Il fournit une indication mensuelle des tendances du marché du travail, fondées sur des données réelles liées à l’emploi.

À l’exception de la restauration, tous les secteurs connaissent une baisse d’activité en juillet 2022 comparativement à juillet 2021. Les baisses des ventes magasins sont fortes dans les secteurs de l’habillement, de la chaussure et des jouets-culture-cadeaux. Même l’équipement de la maison, longtemps préservé, subit une baisse très significative (-7,1 %). Les baisses sont moins fortes pour l’alimentaire spécialisé et la beauté-santé.

« Dans un contexte de forte tension sur les matières premières, nos matières recyclées ont de plus en plus de valeur, explique Dominique Mignon, présidente d’Eco-mobilier. Notre engagement est de les conserver en France, de développer l’industrie, l’emploi et le recyclage sur notre territoire national, de faire du patriotisme écologique ».

Le marché du meuble enregistre en juin un recul de son activité assez marqué, de 7,8 %. Toutefois, souligne l’Institut de prospective et d’études de l’ameublement, le mois demeure largement en avance sur son résultat de l’année 2019, avec un gain en valeur de 30,3 %.

Réélu président de l’Ameublement français jusqu’en 2026, Philippe Moreau œuvrera, aux côtés des administrateurs de l’organisation professionnelle, pour contribuer à écrire la feuille de route opérationnelle du projet sectoriel : faire de l’ameublement une filière à impact positif ; exceller dans l’adaptation de l’offre à l’évolution des modes de vie et de la société ; faciliter la transformation des entreprises et leur conquête des marchés.

Plusieurs fédérations saluent l’adoption, par le Sénat, d’un amendement tendant à plafonner l’indexation des loyers commerciaux à un maximum de 3,5 % sur un an. Mais elles regrettent que ce plafonnement soit réservé aux seules TPE et PME, ce qui exclut une grande partie des enseignes, alors même que celles-ci ne seront pas dans la capacité de supporter une indexation élevée des loyers.

Les organisations professionnelles de l’Ameublement français et de l’Union des Industries des Panneaux de Process unissent leur avenir. Parmi les principaux objectif de cette fusion : parler d’une seule voix en ayant plus de poids auprès des décideurs politiques français et européens, dans un contexte de tensions sur la ressource bois (bois industrie, comme bois recyclés).

Industriel de l’ameublement respecté de toute la profession, Dominique Weber est, entre autres, président du groupe Weber Industries, implanté en Alsace et dans les Vosges. Il a été président de l’Ameublement français de 2014 à septembre 2018 et préside aujourd’hui le Codifab.

En 2021, 60% des consommateurs ont adopté le “Bopis” (“buy online, pick up in store” / “acheter en ligne, retirer en magasin”), contre 55% en 2019. Côté “Ropo” (“research online, purchase offline” / littéralement : “rechercher en ligne, acheter hors ligne”), en 2019 ils étaient 72% à avoir adopté ce mode d’achat, qui consiste à chercher sur internet avant d’acheter en magasin; ils ont été 77% en 2021.

Les chiffres révélés par Procos le 7 juillet dernier valident les orientations annoncées par la même fédération le 29 juin, avec un début de soldes en net retrait. La fréquentation des magasins (-16,6 % par rapport à juin 2019) confirme cette tendance insuffisante, après un mois de mai qui avait été pourtant plutôt positif.

« J’ai souhaité rejoindre la FCA au poste de délégué général, a déclaré l’intéressé, pour m’engager pleinement au service de ses adhérents et contribuer, à leurs côtés, au rayonnement et à la défense des intérêts en France de ce modèle d’entreprise empreint de nombreuses valeurs, appelé à jouer un rôle toujours plus important dans les solutions apportées aux nombreux défis économiques, environnementaux et sociaux qui traversent nos sociétés ». Présentations.

2021 restera comme une année charnière pour l’éco-organisme, avec la préparation de l’élargissement de l’activité d’Éco-mobilier à tout l’univers de la maison : jeux et jouets, articles de bricolage-jardin et matériaux du bâtiment.