
Fort d’une expérience de vingt-cinq ans dans des organisations au cœur des préoccupations environnementales, de la science et de l’innovation, le nouveau directeur général aura notamment pour mission d’incarner le FCBA auprès des professionnels, des institutionnels et de ses partenaires, afin de démontrer et d’accroître les impacts concrets, techniques et économiques, des activités de l’institut.
Le 3 février dernier, l’Institut technologique Forêt Cellulose Bois-construction Ameublement (FCBA) a annoncé la nomination de Ludovic Guinard (notre photo) en tant que directeur général. Il succède à Christophe Mathieu, qui a assuré la gouvernance de l’institut pendant six ans et demi.
« Acteur engagé de la bioéconomie et de la souveraineté, Ludovic Guinard rejoint FCBA avec la conviction qu’il est d’intérêt général et collectif de faire de FCBA l’outil clé, reconnu et au service du développement des filières forêt-bois et ameublement », a publié l’institut sur son site. Et d’ajouter : « Il incarnera avec force l’institut auprès des professionnels, des institutionnels et de ses partenaires, afin de démontrer et d’accroître les impacts concrets, techniques et économiques de nos activités et, ainsi, faire grandir l’engagement de tous les acteurs auprès de FCBA. »
Fort d’une expérience de vingt-cinq ans dans des organisations au cœur des préoccupations environnementales, de la science et de l’innovation, c’est au Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (CTIFL) qu’il a passé ces huit dernières années en tant que directeur général délégué. Son engagement et sa vision stratégique lui ont permis de piloter le CTIFL et de mettre en place des outils innovants et résilients au service de la filière fruits et légumes. Concomitamment, son rôle de directeur adjoint de l’interprofession des fruits et légumes frais (INTERFEL), a nourri et enrichi sa lecture pragmatique et prospective des enjeux croisés des professionnels d’une filière longue.
« Les enjeux des filières forêts-bois et ameublement sont majeurs pour la décarbonation de l’économie, mais tout autant pour la souveraineté de notre pays, a déclaré l’intéressé. Ces filières sont celles du bien-vivre décarboné, depuis l’usage et le développement des ressources renouvelables et renouvelées, jusqu’à l’adaptation des usages des produits et des espaces de vie. Et répondre à ces enjeux appelle à stimuler la performance, façonner du collectif, produire de l’avenir. Je sais les équipes au service des filières et suis honoré d’embrasser une telle mission ».