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Finadorm publie son 1er rapport RSE et adopte une stratégie de développement durable ambitieuse

Finadorm publie son 1er rapport RSE et adopte une stratégie de développement durable ambitieuse

Avec cette première édition de son rapport RSE, le groupe partage ses convictions et sa stratégie RSE, au travers du programme “Fin’Impact” ; il y dévoile également ses engagements environnementaux et sociétaux, ainsi que ses objectifs chiffrés à horizon 2030.

Décidément, en ce début 2024, le groupe Finadorm fait parler de lui ! Alors qu’à l’heure où nous écrivons ces lignes, son président-directeur général, Jean-Rémy Bergounhe, est en train de boucler (non sans rebondissements !) le célèbre rallye raid “Dakar”, en Arabie Saoudite, le Français publie son premier “Rapport RSE”. Celui-ci (disponible à la lecture en ligne et accompagné d’une vidéo), illustre la philosophie du groupe qui, si l’on en croit ses communicants, repose sur la raison d’être même de Finadorm et de ses entreprises, résumée au travers de cet engagement : « Ancrés dans nos territoires, nous, les femmes et les hommes de Finadorm, nous engageons à créer, fabriquer, distribuer, des biens au service du mieux-vivre de tous. »

Rappelons ici que Finadorm, fondé en 1984 par son PDG actuel, Jean-Rémy Bergounhe, rassemble aujourd’hui onze filiales. Elles couvrent les secteurs de la production de literie (Dunlopillo et Le Sommeil Français, avec les marques Technilat et Biotex), de la distribution de literie (La Compagnie du Lit et France Literie), de l’habitat de loisirs (avec Sunshine Habitat et ses marques Louisiane, Lodges CIAT, Chalets Fabre, Sunshine Outdoor), de la petite enfance (Mathou, Loxos et Mathou-Pitchou) et de la construction bois (Sicob). À ce jour, quasiment toutes les entreprises de production du groupe ont terminé leur démarche de certification ISO 14001. Un satisfecit qui, nous dit-on, « traduit la démarche d’amélioration continue et globale, pour une performance environnementale exemplaire. De l’achat des matières premières au traitement en fin de vie des produits et services, l’ISO 14001 apporte les outils nécessaires pour limiter aux mieux l’impact environnemental de toutes les activités ».

Avec cette première édition de son rapport RSE, le groupe partage ses convictions et sa stratégie RSE, au travers du programme “Fin’Impact” ; il y dévoile également ses engagements environnementaux et sociétaux, ainsi que ses objectifs chiffrés à horizon 2030. Et les communicants cités plus haut de préciser : « Ce rapport RSE a pour vocation d’embarquer tout l’écosystème de Finadorm dans sa démarche : collaborateurs, fournisseurs, partenaires. Partagé dans le cade d’appels d’offres, il accompagne clients et collectivités locales dans leurs actions en matière de décarbonation et de respect de la biodiversité. »

La direction du groupe Finadorm au grand complet. Debout : Jean-Rémy Bergounhe (président de Finadorm), Sophie Malka (DG de Mathou & Loxos), Romuald Lambert (DG de Dunlopillo), Philippe Miret (DG de Louisiane), Sandra Freeman (directrice de la transformation et de la communication de Finadorm), Sébastien Renaud (DG de Chalets Fabre et Lodges CIAT), Tahar Cherrou (DG de Sunshine Habitat), Jean-Louis Spinelli (DAF de Finadorm) et Pierre Weibel (président de France Literie Expansion). Assis : Ludovic Woronoff (DG de La Compagnie du Lit), Patrick Réguillon (DG de Le Sommeil Français), Anne Deas (DRH de Finadorm), Rémy Subra (DG de Sicob) et Hervé Cireau (DG de Finadorm). (© Guillaume Murat.)

Lancé en février 2023, Fin’Impact a pour objectif de répondre, saison après saison, à tous les enjeux environnementaux et sociétaux, ainsi qu’à l’évolution des règlementations nationales, européennes, internationales. Ce programme interne permet aux entreprises du groupe de continuer à produire « pour le bien-être de tous, de façon plus vertueuse chaque jour et de rester ainsi leaders sur leurs marchés ». « Parce que la “Responsabilité Sociétale de l’Entreprise” (RSE, ndlr) est l’affaire de tous et se joue à tous les niveaux, nous écrivons ensemble l’histoire de Finadorm et de ses entreprises, explique Jean-Rémy Bergounhe. Approvisionnement, transport, production, distribution… : nous sommes les acteurs du changement sur toutes les chaînes de valeurs de nos métiers. Fin’Impact permet à chacun de nous de partager les informations et les données nécessaires, afin de trouver ensemble les solutions pour nos activités. Notre programme reste orienté vers des réalités concrètes du quotidien ; il anticipe ainsi les évolutions règlementaires et législatives en matière de RSE et permet de chercher, dès maintenant, les solutions business adaptées… Fin’Impact, c’est aussi faire grandir chaque collaborateur, pour développer ensemble notre entreprise demain ! »

Lors de la “Saison 1” de Fin’Impact (nos images), il s’est agi d’enclencher le mouvement. Pendant six mois, 45 salariés, ambassadeurs de tous métiers et de tous territoires, ont mené trois expérimentations, alignées avec l’objectif du groupe de « proposer des biens et des services destinés au mieux-vivre de tous ». « Toutes ont débouché sur des résultats concrets », affirme le communiqué de presse diffusé par Finadorm à l’occasion de la publication de ce premier rapport RSE. Les ambassadeurs de cette première saison Fin’Impact ont également travaillé à établir le premier “Bilan Carbone” de chaque entreprise du groupe, qui affiche une empreinte globale d’environ 65 473 tCO2e (tonnes équivalent carbone) pour l’année 2022. Métaux, plastiques, bois, mousses, mobiliers… : les achats de matières liées aux métiers de chaque entité, représentent 63 000 tonnes de CO2 par an. « Un constat, poursuit le communiqué, qui motive d’autant plus Finadorm et ses entreprises à sélectionner les fournisseurs les plus vertueux et à accompagner ses partenaires historiques dans leur transition ».

Initiative du groupe pour réduire ses émissions de CO2 et appliquer sa politique RSE sur le long terme ? : Fin’Impact, “Saison 2” ! En s’appuyant sur tout le travail de récolte de données, d’analyse et d’expériences fourni par ses collaborateurs, l’entreprise a fait le choix « d’activer la transformation du groupe de façon claire et pratique ». Toutes les actions nécessaires sont désormais identifiées, au travers de six engagements. Et pour y parvenir, les moyens ont été donnés aux experts métiers des différentes entités de Finadorm, avec une organisation du travail structurée dans des groupes d’action : les “Fin’Equipes”.

Récapitulatif des six engagements en question, saison après saison :

1 • Réduire les émissions de gaz à effet de serre dans la production. Objectif 2030 : augmenter de 40 % la part d’énergie renouvelable dans la consommation des sites de production.

2 • Réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à la logistique et à la gestion des flux de Finadorm. Objectif 2030 : passer 40 % de la flotte de véhicules en technologie hybride, électrique, ou biocarburant.

3 • Intégrer la circularité et l’écodesign dans l’ensemble des activités de Finadorm. Objectifs 2030 : introduire 15 % de matériaux recyclés dans l’ensemble de la production du groupe et réduire de 5 % par an la production de déchets.

4 • Réduire les émissions de gaz à effet de serre, avec des achats plus responsables et en engageant les fournisseurs. Objectif 2024 : réduire de 10 % les gaz à effet de serre émis par les fournisseurs.

5 • Favoriser “l’empowerment” des salariés. Objectif 2030 : 15 % des collaborateurs auront suivi une formation, dispensée en interne via la “Fin’Académie”, « pour améliorer les compétences, la conscience environnementale et le vivre-ensemble dans l’entreprise ».

6 • Stimuler le bien-être dans l’entreprise et améliorer l’attractivité du groupe. Objectif 2030 : « 100 % des collaborateurs satisfaits à horizon 2030 ! »

« Nous nous sommes fixés des engagements ambitieux et responsables, conclut Jean-Rémy Bergounhe. Et, très concrètement, nous portons de façon volontariste et quotidienne le programme Fin’Impact, grâce à nos collaborateurs engagés partout en France ».

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