Dunlopillo, La Compagnie du Lit, Technilat, Biotex, France Literie, Sunshine Habitat, Mathou Créations, Loxos ou Sicob : ce nouveau rapport RSE de l’ETI aveyronnaise est celui de toute une flotte d’entreprises engagées pour répondre aux enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux. Cette démarche, incarnée par le projet “Fin’Impact”, entend réduire l’impact carbone des activités des entreprises de Finadorm, développer le bien-être de ses collaborateurs et donner du sens à leurs métiers.
Finadorm a publié son deuxième rapport RSE. Une édition de 40 pages, dans laquelle le groupe fondé en 1984 par son actuel PDG (Jean-Rémy Bergounhe), dévoile l’avancée de ses engagements et les projets à venir pour réussir sa transformation.
Qu’il s’agisse de Dunlopillo, La Compagnie du Lit, Technilat, Biotex, France Literie, Sunshine Habitat, Mathou Créations, Loxos ou Sicob, chacune des PME constitutives de l’entité Finadorm « produit de la richesse pour l’économie locale, en respectant les valeurs, les populations et les réalités de chacune des régions, avancent les communicants du groupe. Une philosophie alignée avec la raison d’être de leur maison mère : “Ancrés dans nos territoires, nous nous engageons à créer, fabriquer, distribuer des biens au service du mieux-vivre de tous” ».
Tout au long de ce rapport, Finadorm partage les témoignages de collaborateurs, impliqués dans “Fin’Impact”, leur projet RSE commun. Le groupe donne également la parole aux parties prenantes extérieures telles qu’Engie Impact, Bpifrance, l’éco-organisme Valdélia, le fournisseur Tarkett, la CCI d’Aveyron, les pompiers de l’Aveyron… « qui reconnaissent les actions du groupe et saluent l’approche visant à créer une culture d’entreprise qui optimise sa mise en œuvre opérationnelle dans toute la chaîne de création de valeur ». Ce travail transverse embarque un grand nombre de collaborateurs et transforme concrètement les approvisionnements en matières, le choix des fournisseurs, la logistique, la production, ou encore la conception des produits et la réflexion sur leur seconde vie dès leur mise sur le marché. « Cette dynamique vertueuse anime au quotidien nos collaborateurs, qui trouvent un sens à notre démarche, à l’orientation de leur entreprise, mais aussi à leur métier, a déclaré à ce sujet Jean-Rémy Bergounhe. Développé autour de sept engagements (quatre engagements environnementaux ; trois engagements sociaux et sociétaux, ndlr), Fin’Impact est un accélérateur de conscience, de compétences et d’ingéniosités partagées, pour réduire l’impact carbone des activités des entreprises de Finadorm, développer le bien-être des collaborateurs et donner du sens à leurs métiers ».
En 2023, le bilan carbone des entreprises de Finadorm affiche 52 832 tCO2e (avec une marge d’erreur de 2 à 3 000 tonnes). Si ce résultat est en baisse de 19% par rapport à 2022 (65 473 tCO2e), Finadorm souhaite poursuivre et intensifier ses actions pour diminuer l’empreinte carbone de ses activités.
Dans ce contexte et en résumé, en matière d’engagements environnementaux, les objectifs de Finadorm, à horizon 2030, sont les suivants : augmenter de 40 % la part d’énergie renouvelable dans la production ; passer 40 % de la flotte de véhicules en technologie hybride, électrique, ou biocarburant ; introduire 15 % de matériaux recyclés dans l’ensemble de la production du groupe et réduire de 5 % par an la production de déchets ; réduire de 10 % par an les GES (gaz à effet de serre) émis par les fournisseurs (à ce jour, 96 % du bilan carbone des entreprises de Finadorm proviennent des produits et matériaux achetés à leurs fournisseurs).
En matière d’engagements sociaux et sociétaux, « afin, nous dit-on, de favoriser l’empowerment et le bien-être des salariés », les trois engagements évoqués plus haut sont les suivants (toujours à horizon 2030) : 15 % des collaborateurs auront suivi une formation dispensée en interne, « pour améliorer les compétences, la conscience environnementale et le vivre-ensemble dans l’entreprise » ; 100 % des collaborateurs satisfaits, notamment au travers du développement de la “marque employeur” de la flotte des entreprises de Finadorm ; développer la culture “santé & sécurité” au sein de Finadorm. Sur ce dernier point, le groupe a fait le choix de réunir les compétences RH (Ressources humaines) et QHSE (Qualité, hygiène, sécurité, environnement), pour « partager leurs actions et leurs pratiques quotidiennes et améliorer la culture santé et sécurité » ; objectif : faire que la sécurité soit un réflexe au quotidien et obtenir, à terme, la certification ISO 45001.