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Les améliorations attendues, en matière d’inflation en général et concernant une contraction des hausses de prix de l’alimentaire en particulier, devraient, sauf événement majeur, redonner un peu de souffle aux activités du commerce spécialisé au premier semestre 2024. Acceptons-en l’augure, même si cette inflexion des prix mettra sans doute du temps à être perçue… par des consommateurs toujours sceptiques vis-à-vis des annonces d’évolutions positives.

D’une superficie de 4 500 m², ce nouveau point de vente met en scène les cinq grands univers du distributeur (Hi-Tech, Électroménager, Cuisine, Ameublement et Literie), déclinés sous forme de corners de marques. Un dépôt de plus de 1 600 m² complète ce nouveau point de vente, pour assurer un maximum de stocks et une disponibilité immédiate des produits.

Bien que les prix à la consommation aient progressé de 4,9 % sur un an à fin septembre selon l’Insee, le prix moyen d’un trois-pièces a, lui, diminué de -1,42 % en six mois. En cet automne 2023, il faut donc compter en moyenne 322 676 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France. Cela représente environ 4 650 € de moins qu’il y a six mois pour un T3, surface de référence dans la promotion immobilière.

L’Autrichien Julius Blum GmbH, entreprise familiale internationale spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de ferrures de meubles (portes relevables, charnières, coulissants…), va profiter de sa présence sur le salon EspritMeuble (qui ouvre ses portes ce 18 novembre), pour présenter ses innovations, récemment ou prochainement disponibles sur le marché français. Avant-première.

Récemment obtenu par Mobalpa, le trophée “Meilleure Chaîne de Magasins”, qui se base sur une évaluation factuelle des enseignes préférées des Français, traduit notamment la reconnaissance d’un réseau composé à ce jour de 278 points de vente, dont 235 en France. Celui-ci va renouveler prochainement sa communication, en dévoilant début 2024 une toute nouvelle campagne.

Le fabricant allemand Nolte Möbel a été contraint de se déclarer en cessation de paiement le 9 novembre dernier. Entre les conséquences multiples de la pandémie, le contexte européen inflationniste qui perdure, des disfonctionnements internes inattendus et des dépenses contraintes insurmontables, les raisons de ce dépôt de bilan sont multiples. Et la direction de l’entreprise a tenu à en livrer sa version. Synthèse.