En association avec le “World Sleep Day”, la “Journée du Sommeil” a été créée en 2000 par l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV). L’événement, dont la vocation consiste notamment à sensibiliser le grand public aux bienfaits d’un sommeil de qualité, aura lieu le vendredi 15 mars prochain.
Petit rappel, à l’intention des professionnels de la literie : le vendredi 15 mars prochain aura lieu la 24e “Journée du Sommeil”, organisée par l’INSV (Institut National du Sommeil et de la Vigilance), sous le patronage (excusez du peu !), de trois ministères : ministère de la Santé et de la Prévention ; ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ; ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Un événement dont la vocation consiste notamment à sensibiliser le grand public aux bienfaits d’un sommeil de qualité ; ce qui (on peut le regretter), hormis les actions du collectif Parlons Literie autour de la nécessité de renouveler sa literie (au premier rang desquelles la nouvelle campagne digitale, lancée le 1er février dernier pour une durée de six mois), n’arrive pas tous les jours… Mais en quoi consiste concrètement cette fameuse journée ?
En association avec le “World Sleep Day”, la “Journée du Sommeil” a été créée en 2000 par l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV), association loi 1901 regroupant des personnes physiques et morales « œuvrant dans le registre de la prévention, sensibilisation, éducation à la santé, sommeil, vigilance ». Selon les responsables de cette interface de communication et de prévention sur le sommeil en France, cette “Journée du Sommeil” est « un moment unique de communication et de mobilisation des pouvoirs publics, du corps médical et des associations de patients, dans l’objectif de véhiculer les messages de prévention liés à l’hygiène du sommeil et ses troubles ». Avec cet événement, l’INSV s’est ainsi donné un triple objectif : sensibiliser le public ; favoriser le dépistage et rappeler que des structures de soins existent lorsque le sommeil devient pathologique ; poursuivre la reconnaissance engagée des troubles du sommeil comme élément de santé publique. À cette occasion notamment, des centres du sommeil (ou autres structures spécialisées) ouvrent leurs portes, avec la participation d’associations de malades et d’éducation pour la santé, pour accueillir, informer et sensibiliser le public sur les troubles et l’hygiène du sommeil.
« À 75 ans, rappelle à cette occasion l’association, nous aurons dormi… 25 ans !, soit un tiers de notre vie. Les conséquences de la privation chronique de sommeil peuvent être nombreuses sur la santé : prise de poids, diabète, augmentation de la douleur, dépression, aggravation des troubles respiratoires et cardiovasculaires, endormissements au volant ou au travail, baisses de performance, difficultés relationnelles… Pourtant nous malmenons notre sommeil, unique moyen de récupérer nos capacités physiques et psychologiques ».
Pour en savoir plus sur cette 24e édition de la “Journée du Sommeil” (placée cette année, Jeux Olympiques obligent, sous le thème “Sommeil, pratique sportive et alimentation”), c’est ici.