L’enseigne à la Marmotte (son rongeur de mascotte), a ouvert trois nouveaux points de vente au cours des quelque 80 premiers jours de 2023. De bon augure pour cette année, qui coïncide avec l’anniversaire des 30 ans de la bannière spécialisée, fondée – faut-il le rappeler ? – en 1993, à Salaise-sur-Sanne (38).
La Halle au Sommeil a entamé l’année de ses 30 ans sous les meilleurs auspices en termes de développement ! Au cours du mois de janvier dernier en effet, Steeve Buffart et Clément Roux, qui possèdent déjà les unités de Briançon (05), Embrun (05) et Manosque (04), ont ouvert leur quatrième magasin sous le célèbre emblème de la Marmotte, à Sisteron (04). Par ailleurs, également au cours du premier mois de l’année, le 10 janvier très exactement (veille des soldes d’hiver), David Da Silva, déjà propriétaire des Halle au Sommeil de Saint-Quentin (02) et Soissons (02 – avec son associé Paulo Bento), a inauguré un nouveau point de vente, à Valenciennes (59) cette fois.
Mais ce n’est pas tout ! : le frère jumeau de ce dernier, José Da Silva, a ouvert son premier magasin, sur une surface de 580 m2 (photo d’ouverture), le 1er mars dernier à Chartres (28)… qui est aussi la 82e unité du réseau spécialiste « de la literie, du canapé et des grandes marques à prix discount », le tout placé sous le signe de « l’excellence ».
« J’ai 46 ans et une expérience de 29 années passées au sein de la grande distribution du meuble et de l’électroménager, raconte José Da Silva, avec un parcours de vendeur à directeur de magasin… Arrivé à ce stade de ma carrière, j’ai éprouvé le besoin de relever un nouveau challenge ; c’est à ce moment-là que j’ai pris la décision de créer mon entreprise ».
Et le jeune entrepreneur de poursuivre : « Pourquoi avoir choisi la franchise La Halle au Sommeil ? Principale “raison” : mon frère, David Da Silva, qui a intégré le réseau en 2020 ! Le choix de cette enseigne s’est aussi opéré au regard de la simplicité d’installation du magasin, de la confiance en ses dirigeants et de la rentabilité du concept. C’est aussi l’histoire d’une rencontre ; avec les hommes qui pilotent cette belle enseigne, qui n’hésitent pas à “mouiller le maillot” dès que cela est nécessaire, le tout dans un esprit de famille très appréciable. »